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Carolina Kingskade , Mardi 26 novembre 2024 - 11:37

Carolina Kingskade

 

Première née de mes parents, je suis le reflet de mon père dotée de l'esprit de ma mère.

 

 

Qui suis-je ?

 

Je m'appelle Carolina Kingskade, je suis née à Londres dans une petite chambre d'hôpital entourée par l'amour.

 

D'aussi loin que je me souvienne, chaque personne qui a croisé mon chemin m'a aimée d'une manière ou d'une autre, sans même que je ne comprenne pourquoi.

 

Ca a commencé avec ma mère, Morgana Wilson et mon père Thomas Kingskade, qui m'ont couvert d'affection dès l'instant où j'ai ouvert les yeux.

S'en sont suivi de mon parrain Arthur et ma marraine Jennifer,

Et de ma petite sœur Alysia.

 

Cet amour familial, peut-être normal, n'est pas le seul que j'ai pu recevoir.

 

J'ai également beaucoup d'ami d'avant, pendant et après Poudlard, de tous lieux et toutes origines. Une meilleure amie, un confident, mais plus d'amoureux.

Eh non, le seul garçon que j'ai aimé a décidé de mettre un terme à notre relation après quatre années ensemble, et depuis, je n'ai pas laissé quelqu'un reprendre sa place.

 

Maman :

 

Ma mère est la lumière de ma vie.

Elle est la personne la plus gentille et douce que je connaisse.

 

J'ai hérité de son esprit aventureux, son art du Quidditch, sa chaleur et sa bienveillance. Sans elle, le quotidien aurait été plus calme et sérieux à l'image de mon père.

 

Ma mère a les cheveux roux, une silhouette élancée et des yeux d'un bleus proche du vert. Elle adore concocter des potions, plus particulièrement des remèdes pour les petits bobos du quotidien, que ce soit pour les sorciers ou les animaux magiques. 

Elle n'a pas choisi de faire de grandes études, elle a préféré suivre le chemin de l'expérience en travaillant dès son adolescence dans une boutique d'animaux magiques. 

C'est également durant ses études à Poudlard que ma mère, lionne rouge et or, a rencontré mon père, un serpent vert et argent venu d'ailleurs.

 

A l'origine, mon grand-père maternel est Américain, et sa femme anglaise, leur union a donné une fille unique, ma mère. 

Le mariage de mes grands-parents avait fait débat dans la famille, à tel point que des discordes ont éclatés et que la lignée s'est divisée. 

C'est en rencontrant Jennifer, ma marraine, que ma mère s'est rendu compte qu'elle avait une cousine, et une famille plus ou moins accueillante sur un autre continent. 

 

Comme quoi les schéma se répètent de génération en génération… 

 

Papa :

 

Il est l'opposé de ma mère sur tant de point, je ne comprends toujours pas ce qui les a poussé l'un vers l'autre.

Parfois distant, souvent protecteur, il témoigne son amour par des attentions matérielles plus que des mots.

 

J'ai hérité de son teint froid, ses yeux bleus et ses cheveux d'or, mais également de sa méfiance vers les inconnus.

 

Mon père est un descendant d'une lignée de sorciers nobles, selon moi, c'est ce qui l'a rendu froid et distant avec le temps - Sans oublier ses premières années à Durmstrang. Les membres de sa famille sont loin d'être unis et heureux, ils pensent la vie de manière stratégique et peu naturelle, comme si le monde était un ennemi à abattre. 

 

Un jour, mon père s'est installé dans le salon avec moi pour me raconter l'histoire de notre famille en détail. Nos racines s'étendent jusqu'en Russie où nous nous sommes notamment fait connaitre grâce à notre élevage rapporté d'Europe de l'ouest de Sombrals. C'est d'ailleurs ainsi que le blason des Kingskade avait vu le jour. 

 

Notre blason se compose d'une tête de sombral entourée de deux baguettes se croisant et où l'on retrouve la devise de la famille: Vincit qui patitur - Celui qui souffre gagne.

 

Car dans la famille, pour permettre des mariages arrangés fructueux, nous sommes mêmes allés jusqu'à inventer une légende. Légende selon laquelle un homme ne peut épouser l'élue de son cœur, sinon, elle mourrait dans les prochaines années. 

Et pour l'instant, maman va bien, depuis maintenant 25 ans. 

Celui qui souffre gagne.

 

Je pourrais m'éterniser des heures sur l'histoire de la famille en elle même, mais ma famille, c'est mon foyer. Et la rencontre de mes parents, leur histoire d'amour et leur union interdite m'inspire beaucoup plus au quotidien. 

 

Alysia :

 

Nous ne nous ressemblons pas, nous nous complétons.

 

Ses cheveux de feu et ses yeux bleus sont ceux de ma mère, alors que son caractère acéré et son don d'agacer les autres lui viennent de notre père. Si parfois j'ai l'impression qu'elle est la préférée de papa, il lui est arrivé de me confier qu'elle ressentait la même chose vis à vis de notre mère avec moi.

 

Alysia est une Kingskade fière de ses origines, au fond de moi, je sens qu'elle aurait aimé perpétuer la lignée en étant née sous une forme masculine, c'est peut-être ce qui la rend si différente. Son attachement envers les traditions familiales me dépasse particulièrement.

 

Poudlard :

 

J'ai fait la fierté de mon père en étant reconnue comme une Serpentard par le Choixpeau magique.

Il faut dire qu'à l'époque, je ne me voyais pas chez les intrépides Gryffondor. Ce n'est qu'en grandissant que le courage m'est venu, et même si aujourd'hui je ne serais pas prête à sauter dans le moindre danger les yeux fermés, je serais prête à beaucoup pour les gens que j'aime.

 

Par ailleurs, j'ai beau être aimée, aimer en retour n'est pas chose simple. Pour moi l'amour se mérite, il se gagne et se conserve comme une étincelle devenue flamme. En somme, tant que je ne te connais pas, je ne t'aime pas (la règle ne s'applique cependant pas aux animaux). 

Et ça je l'ai découvert au château quand j'ai choisi ma meilleure amie pour la vie et le garçon qui, je le pensais, m'accompagnerait dans toutes mes aventures. Car avec eux, la vie avait pris une toute autre dimension. 

 

 

La manumagie :

 

J'ai appris à manier la manumagie avec beaucoup d'intérêt mais je continue de me servir de ma baguette. Ce don est un travail constant afin de le perfectionner et l'intégrer dans son quotidien. 

 

Ambitions :

 

Malgré le contexte politique actuel, j'ai toujours voulu devenir une gardienne du secret magique. Si pour l'instant je tente d'entrer au Ministère dans le Service des usages abusifs de la magie, j'espère pouvoir évoluer dans ce sens, mais plus rien n'est garanti dans ce monde changeant. 

Avec un peu de chance, je pourrai faire partie de la brigade de la police magique si je devais emprunter une autre direction

 

 

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Carolina Kingskade , Mardi 26 novembre 2024 - 11:37

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