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L'art de disparaitre

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Sasha Shevchen

16 ans Sang-Mêlé·e Ukrainienne Notoriété

Gryffondor
Ce titre distingue un donateur d’exception dont la générosité rivalise avec les coffres les plus remplis de Gringotts, faisant de lui un véritable magicien de la fortune solidaire.
Hall de Poudlard, Mardi 06 Mars 2125

Les yeux de Sasha allèrent d'une fille à l'autre, hébété. Alison disait des choses vachement plus matures que ce qu'il entendait d'elle habituellement, et allait même jusqu'à mentionner sa mère. Quant à Anya, elle avait visiblement... Vraiment voulu l'aider. Il resta coi, mal à l'aise, détourna le regard pendant que la russe s'adressait à sa consoeur Serpentard, ayant vaguement l'impression d'être de trop dans cette discussion. Pourquoi diable était-il intervenu, à la fin ?

Ce qui lui paraissait étrange, c'était qu'Anya lui rétorquait presque ce que lui-même aurait voulu répondre à Alison : que lui aussi voulait bien retourner là-bas, qu'il travaillait pour y avoir sa place, loin de l'Angleterre. Que lui aussi, quand il retournerait là-bas, il pourrait enfin rendre les comptes. Ce miroir subitement réfléchissant lui arracha un frisson et il secoua négativement la tête pour toute réponse, parce qu'il n'allait quand même pas dire "moi aussi, tout pareil !" et que la baguette d'Anya, malgré tout, était suffisamment dissuasive.

 

De toute façon, Anya s'éloignait déjà et il la suivit du regard. Sa silhouette élégante - sans-visage ? - faisait danser ses cheveux dans un soleil déclinant et chaud.

 

Il resta un moment silencieux. Le temps que la russe eût tout à fait disparu, et que le sang cessât de battre à ses tempes comme des tambours sinistres. Alors, il se retrouva seul face à l'arbitre qui le toisait sous sa frange rousse. Un moment, il eut l'impression de reconnaître le même regard sévère qu'avait parfois Kate sur les photos de famille que Charlie lui avait montrées, mais il ne partagerait sûrement pas un détail qu'Alison interpréterait de nouveau comme une intrusion malsaine. Alors Sasha pinça les lèvres avec un soupir, puis il s'éloigna de quelques pas, histoire de pouvoir se laisser choir sur la vieille souche d'un sapin au moins trois fois centenaires.

Au loin, les discussions allaient bon train dans le parc. On n'en percevait guère les mots ; seulement les intonations enthousiastes de discussions naïves, et Sasha se sentit soudain fatigué. Aussi vieux que la souche. Il serait bien resté là le reste de la nuit.

 

Son regard finit par retourner se loger dans celui de l'arbitre.

 

- T'as sûrement raison, il admit au bout d'un moment.

 

Sur le fait que ce qu'il voulait ou ne voulait pas n'entrait pas en ligne de compte, par exemple. Sur un certain nombre d'autres choses, aussi. Inutile de revenir sur quoi. Il n'avait plus envie de se justifier. Le soleil jouait dans les feuillages, projetait sur leurs visages des éclats furtifs, comme des pièces d'or invisibles qui jouaient dans leurs cheveux, disparaissaient aussitôt.

 

- J'aurais pas dû. Ok ?

 

Ca suffirait pas. Quelqu'un comme lui ne suffirait jamais à Alison Carter. Et pourtant, il soutenait son regard. Un bref détour par le sol entre eux, puis il revint aux yeux d'Alison. Et puis soudain, un rire silencieux secoua ses épaules. Une seule fois.

 

- Au moins quand tu te fâches, j'ai affaire à la vraie Alison, déclara-t-il, amusé. C'est une version que les autres ont pas beaucoup.

 

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Alison Carter

16 ans Sang-Mêlé·e Britannique Notoriété

Serpentard
Ce titre distingue un donateur d’exception dont la générosité rivalise avec les coffres les plus remplis de Gringotts, faisant de lui un véritable magicien de la fortune solidaire.
Hall de Poudlard, Mardi 06 Mars 2125

" Les grandes filles ça doit montrer l'exemple ", n'avait-on de cesse d'insister auprès d'Alison quand sa mère a disparu. Elle avait six ans, mais comme Charlie était une bambine d'à peine trois ans, la cadette Carter devait se résigner à encaisser seule, de son côté, ce qu'elle appelle la chute de sa famille ; la fermeture de leur boutique à Londres et la dépression d'Owen. De ce fait, la rouquine a beaucoup grandi dans son coin, souvent derrière la porte fermée de sa chambre, isolée avec sa propre manière de gérer les évènements.

 

Aujourd'hui, les mots d'Anya frappent Alison qui reste muette, " stupide " d'avoir cru que l'Angleterre aidait les Slaves, alors que les Slaves eux-mêmes, crachent sur l'idée de vivre ici. Peut-être qu'elle est restée depuis tout ce temps une gamine naïve, assise au milieu de sa chambre, attendant que sa mère ne rentre. Dans un autre contexte, elle aurait voulu féliciter l'obstination d'Anya pour avancer contre le vent. Mais face à la brutalité de sa réponse, face au crachat, elle se tait, le coeur battant et ravale son rôle de médiation. La septième année s'éloigne, laissant Alison et Sasha en tête-à-tête, tandis que ses paroles ont l'air de toujours résonner autour d'eux.

 

Voulait-il la tuer ? 

Alison scrute Sasha, incapable de se faire un avis.

 

Leurs yeux se croisent, ceux de la Serpentard surmontés d'une frange qu'elle oublie d'arranger, l'esprit ailleurs, plantée debout devant l'adolescent. Alors qu'un silence s'étire, elle remarque les éclats de lumière dorée adoucissant l'expression renfrognée du Gryffondor, quand il concède être responsable de certains actes, et les regretter. Ok, se contente de souffler la jeune femme en ne sachant pas comment interpréter le regard qu'il installe entre eux. Elle lui en veut d'avoir abandonné, autant qu'elle s'en veut d'avoir ressenti l'once d'un espoir. Un soupir au bord des lèvres, elle allait partir lorsqu'il la retient de quelques phrases. 

 

Alison se fait une place à côté de Sasha sur la vieille souche. Elle fixe ses Derbies vernies. Tu crois vraiment que si j'me fâche c'est la vraie Alison ? demande-t-elle, la voix calme. Son père n'a jamais autant cessé de se ressembler que le jour où il a commencé à s'énerver. Son pied se colle à celui de l'Ukrainien. Toi quand t'es en colère, c'est le vrai Sasha alors ? interroge la cadette Carter, qui préférerait que la réponse soit non, au vu de son comportement. Elle lisse machinalement les plis de sa jupe d'écolière coupée à mi-cuisses, et sent une certaine morosité l'envahir. 

 

— Je crois que personne ne connaît la vraie Alison.

Celle qui continue d'attendre, seule dans sa chambre.

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Sasha Shevchen

16 ans Sang-Mêlé·e Ukrainienne Notoriété

Gryffondor
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Hall de Poudlard, Mardi 06 Mars 2125

Il s'était attendu à ce qu'elle s'en allât, fâchée qu'il eût fait sur elle un nouveau commentaire comme s'ils se connaissaient davantage. Mais peut-être qu'Alison aussi était lasse de se battre. Sasha la suivit du regard, mais le détourna lorsqu'elle s'assit à côté de lui. Lui aussi contempla leurs pieds. Alison portait de jolies chaussures vernies, trop propres à côté de ses baskets mal entretenues. Ils étaient mal assortis. Mais Alison semblait redevenue sage, à la lisière de la vulnérabilité. Bizarrement, elle ressemblait beaucoup plus, à cet instant, aux deux autres Carter qu'il connaissait. A cette heure, il lui semblait mieux connaître Charlie qu'Alison. Il repensa brièvement aux instants qu'il avait passés en compagnie de la plus jeune, quelques heures plus tôt à peine. Une vague culpabilité l'envahit ; si Alison savait, sûrement qu'elle se redresserait soudain pour le fusiller à nouveau du regard. Mais il ne lui avait pas fait de mal. Il avait voulu la consoler. Peut-être que c'était Charlie qui l'avait davantage consolé lui, sans le savoir. Ou en le sachant parfaitement : la petite fille avait une jugeotte plus avancée que la sienne, il fallait le reconnaître.

 

Sasha secoua négativement la tête.

 

- Non. Toi et moi c'est pas pareil, répondit-il à sa deuxième question.

 

Il n'était pas lui-même quand il se fâchait. Avant la guerre, il ne se fâchait jamais. Du moins jamais méchamment. Tout cela était venu plus tard. Sasha fronça les sourcils, essayant de trouver des mots qui ne s'alignaient pas correctement.

 

- Moi c'est...

 

Même en Ukrainien, en réalité, il ne les aurait pas eu. Sa colère à lui avait moins de sens pour lui que pour celle des autres. Il l'avait apprise.

 

- Être agressif c'était la règle du jeu, là-bas. Alors j'ai appris, tu vois ?

 

Et soudain, ici, ça ne servait plus à rien. Ca l'énervait certains jours. D'autres, ça le décourageait. Plus le temps passait, moins ça lui faisait quelque chose, et plus ça le laissait vide de ne pas avoir vraiment d'autres alternatives. Il soupira. Le son du souffle se mélangea au vent qui jouait dans les branches, comme pour l'effacer, le taire.

 

- Pour toi, j'sais pas.

 

Sasha s'était penché pour s'accouder sur ses propres genoux. Mais il tourna la tête pour jeter un coup d'oeil vers Alison. Est-ce qu'elle était plus elle-même quand elle était en colère ? Il avait l'impression que oui. Que c'était un éclat de vérité, quand elle se fâchait. Qu'il en sortait quelque chose de l'intérieur, d'authentique. Ou bien peut-être était-ce tout simplement que c'était quelque chose qui lui était familier. Qu'il acceptait plus facilement qu'une tendresse factice. Il haussa les épaules.

 

- Y'a que toi qui sait.

 

Elle avait l'air morose. Il lui asséna un léger coup de coude, pour la dérider.

 

- Tu veux danser ? Entre amis, j'veux dire. M'sieur Beckett m'a appris des pas de valse.

 

C'était pas agressif, de danser. Il apprenait ça à Poudlard, au moins, qui n'avait plus rien à voir avec le fait d'être efficace sur un champ de bataille. A quoi ça pouvait servir exactement, sinon donner le change, essayer d'avoir l'air aussi civilisé que les autres ?

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Alison Carter

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Serpentard
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Côte-à-côte, ils ont quelque-chose qui ne ressemble ni au deal, ni aux serres, ni même au bal de Noël. Ils ont quelque-chose d'autre, qu'Alison écoute en continuant de fixer leurs pieds. Sasha évoque la guerre, et l'apprentissage de la violence auquel sont soumis les combattants. T'as entendu Anya, j'suis trop stupide pour comprendre, répond-elle dans un haussement d'épaules las, encore vexée qu'on puisse lui donner une telle leçon alors qu'elle essayait de se montrer indulgente. Le sixième année aussi croit sans doute qu'Alison est incapable de se projeter au-delà de sa frange, et il a bien raison, c'est l'image qu'elle répand depuis la rentrée. " T'as peur de ce que les gens peuvent penser d'toi " avait déclaré Ferguson lors du rendez-vous de St Valentin qu'il s'étaient improvisé. Quoiqu'elle puisse en dire, il a vrai. Elle a peur qu'on trouve la fillette de six ans assise sur son lit. Elle protège cette enfant qui a souffert d'abandon, et se cache derrière une personnalité moins sensible, plus détachée. La silhouette penchée de Sasha, et son coup de coude, interrompt ses pensées. Mh ? Un éclat fugace traverse les prunelles d'Alison qui s'approche de la radio à chaque fois que la musique de leur slow de Noël y passe, au magasin ou dans la salle commune. 

 

— T'as dansé avec Bart, répète-t-elle, un sourire amusé aux lèvres. Elle imagine d'une manière curieusement parfaite la scène, coutumière du caractère fantaisiste de l'homme aux mille voyages. Il est animagus aussi, tu l'as déjà vu se transformer ? C'est un genre d'aigle, précise la Serpentard en fixant la réaction de Sasha. Elle recule un peu sur la souche et ses pieds battent légèrement le vide. Alors, t'as préféré danser avec lui ou avec moi ? interroge Alison, une fossette au coin de la bouche qui dissipe son air morose. 

 

— Ça devait être mieux avec lui, sinon tu m'aurais invitée pour la Saint Valentin. L'embarras du Gryffondor, rallume d'autres étincelles au fond de ses prunelles marron.

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Sasha Shevchen

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Sasha avait froncé les sourcils, jet un regard d'incompréhension à la jeune fille. Il émit un sifflement agacé, malgré lui.

 

  • - Stupide ? Pff. Aucune Carter n'est stupide, décréta-t-il, comme aucun Shevchen n'est une poule mouillée.

 

Il fallait dire que l'intelligence n'était pas le fort de sa famille. Quoique Kalina se débrouillait probablement mieux dans les additions et les soustractions que ses parents et lui.

Sasha logea ses poings sous son menton, pour se mettre à contempler devant lui les rangées d'arbres qui noircissaint la vue jusqu'à devenir la forêt interdite. De jour, elle n'était pas si effrayante que cela. Au contraire même, de petits sentiers se distinguaient entre les troncs, probablement tracés par les nombreux animaux qui y circulaient la nuit. Est-ce que monsieur Beckett s'y aventurait ? Est-ce qu'il risquait de l'y rencontrer. Est-ce que ce serait un problème ?

 

  • - Je sais, je l'ai déjà vu. Des fois, il se transforme dans la bibliothèque devant tout le monde.

 

Lui ne se cachait pas. N'en avait pas besoin. Sa forme d'aigle était pourtant impressionnante, mais tout le monde connaissait la bonté de l'homme, qui n'aurait pas touché un cheveu d'un élève. Il n'en était pas de même pour les préjugés qu'on pouvait avoir sur Sasha même sous sa forme humaine. Alors, de là à imaginer qu'il pourrait faire ça un jour... Le garçon haussa les épaules, coula un nouveau regard en coin vers la jeune fille.

 

  • - C't'une question piège, ça, grommela-t-il. Il danse vachement bien, et au moins j'ai pas peur de lui écraser les orteils si je me trompe, mais j'préfère l'odeur de ton shampooing que celui de son après-rasage, si tu veux tout savoir.

 

Sasha haussa les épaules, un peu boudeur. La Saint-Valentin. Noël. Halloween. Le temps était passé si vite. Il avait l'impression de l'avoir gaspillé à courir ventre à terre, toutes griffes dehors, après des gens et des situations qui ne voulaient pas de lui, qui avaient peur de ses crocs et de ses rugissements. Seule la boutique OCQ était un lieu relativement neutre, dans laquelle il avait réussi à ne rien lacérer par inadvertance. Et ça ressemblait à un beau coup de chance : c'que tu veux pas faire impacte quand même les gens Sasha, peu importe ton intention. Un jour, Freya dirait sûrement qu'il posait problème, qu'il devrait partir, et ce seraient pas ses intentions qui changeraient quelque chose.

 

  • - Comme si t'aurais accepté, gronda-t-il à voix basse.

 

Le souvenir fugace mais tenace de voir Alison s'échapper volontairement avec Spike dès qu'ils avaient fini leur danse de Noël lui passa devant les yeux, éclipsant momentanément la forêt, le soleil. Puis la soirée catastrophique d'Halloween. Puis il y avait eu les rumeurs, et les cours partagés, où elle n'avait plus jamais fait binôme avec lui, préférant la compagnie de ses amies, de Spike, voir de cet étrange énergumène qu'était l'ami de Sam. Alison n'avait pas besoin de lui pour la Saint-Valentin. Mais au fond, il était surpris qu'elle se fusse réellement attendu à une invitation de sa part dans ces conditions. C'était pour le moins étrange.

Sasha prit subitement une inspiration, se redressa.

 

  • - J'te propose un truc, il dit subitement, mais il secoua la tête. Pas un deal, t'inquiète.

 

Une fois redressé, même assis, il dépassait Alison. Avec les pieds qui ne touchaient plus le sol, elle ressemblait un peu à une petite fille, et ce constat lui arracha un sourire en coin.

 

  • - A la fin de l'année, j't'invite à dîner. A Pré-au-Lard, ou ailleurs si tu veux. Ok ? Comme ça, au moins, la dernière fois qu'on se sera vus, on s'ra pas en froid, et tu garderas une image que les... Hem, les gens qui viennent de là-bas peuvent aussi être des gens civilisés.

 

Des fois, quoi. Son père se curait les dents avec les aiguilles à tricoter de sa mère, et il était pas sûr que ce fusse très civilisé, justement. Mais il donnerait le change. Il s'efforcerait. Il haussa les épaules.

 

  • - J'suis sûr que Gwen connaîtra pas un dîner aux chandelles avant ses 18 ans au moins, plaisanta-t-il, avant d'ajouter, plus sérieux, mais ça t'engage à rien d'autre, hein. C'est juste un dîner j'veux dire.

 

Il ne savait pas très bien pourquoi il faisait cette proposition. Pour compenser son mauvais comportement, peut-être. Pour essayer de faire comme les anglais, se montrer comme un gentleman, ce qui était l'inverse du sauvage qu'on voyait en lui, peut-être aussi. Pour se prouver qu'il pouvait être autre chose, précisément. Pour se donner l'illusion de faire un peu partie de la vie des Carter, malgré elles, c'était possible.

Pour ne pas quitter l'Angleterre sur un échec, peut-être encore, ou bien avoir une bonne raison pour essayer de se tenir à carreaux jusqu'à la fin de l'année.

 

Pour ne pas retourner à la guerre avant d'avoir connu ça, assez certainement.

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