Hello !
Je ne connaissais pas du tout la chanson citée ci-dessus !
Pour ma part, ma dernière chanson Shazamée, c'est : She works hard for the Money
J'écoutais Nostalgie en voiture et je connaissais la chanson mais pas le titre.
J'ai pu l'ajouter à ma liste musicale Années 80 !
Aller, je me lance !
Ma première approche de l'écriture
* Mes tous premiers écrits remontent à quand j'écrivais des journaux intimes, je devais avoir 10 ans, plus ou moins. Ma mère avait fini par m'acheter un journal intime à mini cadenas et sa mini clé, car mes sœurs me le piquaient et lisaient tout ce que j'écrivais sur elles :P Et puis, elle en a acheté aussi à mes sœurs, sauf que les clefs étaient les mêmes alors on continuait à se lire nos journaux mutuellement.
* Ensuite, j'en ai eu un à reconnaissance vocale ! C'était le futur, pour moi ! Il fallait enregistrer une phrase et la répéter à l'identique pour le déverouiller. Autant dire qu'il fallait plusieurs essais pour l'ouvrir, car c'était pas terrible comme système. Les murs étant fins, mes sœurs connaissaient ma phrase et arrivaient à l'ouvrir même si la voix n'était pas exactement la même...
* J'en ai eu encore un autre, électronique, avec écrit Star Académie dessus !! Et il fallait un MDP pour y accéder, j'avais mis la date de naissance de mon amoureux, je devais avoir 13 ans...
* Vers la vingtaine, j'ai découvert le journal intime en ligne mais j'adhérais pas. Je préférais lire les petits secrets des autres plutôt que dévoiler les miens, hihi.
* Depuis que j'ai changé de région il y a 8 ans environ, j'écris énormément. J'ai accumulé 16 carnets remplis de mes joies et mes peines. Ce n'est pas de la grande littérature, mais c'est pas grave.
Mes forums RPG
* Avant HP, j'ai connu Fractal, un forum futuriste post-apo. Le site internet était brut, un peu moche, et il y avait des fonctionnalités que je n'aimais pas, mais j'ai pris plaisir à incarner une humanoïde de type femelle qui avait "perdu" la plupart de ses connaissances et devait survivre avec une version basique du comportement humain, sauf qu'elle renfermait un potentiel surpuissant sans le savoir : grosse référence à Chobits, le tout 1er animé de mon adolescence.
* Puis, je découvre le forum HP et je suis restée fidèle. Quand HP2005 a fermé, j'en ai cherché un autre, mais je n'étais pas convaincue, alors j'ai attendu qu'il réouvre, flambant neuf, renaissant de ses cendres tel le Phénix majestueux qu'il est.
* Un autre univers dans lequel je pourrais évoluer, ça serait Disney. Devenir un personnage Disney, un thème dans lequel je suis plongée depuis ma plus tendre enfance, pourrait être sublimissime. J'ai sûrement dû chercher ça, à un moment donné, sans grande conviction quand aux résultats.
Comment je les ai découverts
* Fractal : initiée par un petit-ami de l'époque qui aimait écrire, écrivait bien, rédigeait une thèse, comme ça, pour le plaisir, sans le diplôme de fin d'année, parce qu'il était passionné.
* HP : Je suis tombée sur HP2005 en surfant sur le net, quand je cherchais mon forum à moi après Fractal, et l'univers d'Harry Potter résonnait comme une évidence.
Meilleure et pire expérience RPG
* Je ne pourrais pas dire. Je n'ai pas assez écrit pour le savoir. Je laisse le futur me transporter et me créer des instants fabuleux et dramatiques.
Flora n'a pu profiter de cette incroyable sensation de respirer sous l'eau qu'un court instant seulement, car au bout de quelques mouvements de bras et de jambes, les branchies se sont volatilisées, l'obligeant à bloquer sa respiration. Flora ne peut plus continuer si le sort n'est plus actif, aussi, elle remonte à la surface rapidement pour reprendre son souffle et atteint le bord du bassin. Elle voit des grosses chaussures, une longue robe étirée vers le ciel, et tout au bout, la tête du professeur la regardant d'en haut, l'autorisant à sortir. Il continue de parler mais ne s'adresse plus à elle. Elle prend appui sur ses bras pour hisser la moitié supérieure du corps hors de l'eau, se plie pour sortir une jambe, puis l'autre et se retrouve bel et bien trempée jusqu'au os de bon matin en plein milieu du terrain de Quidditch.
Et dire qu'on est censé voler ici, pas nager...
Le professeur s'adresse de nouveau à Flora, qui tique sur le mot "échec". Oui, c'est le mot.
Soulagée d'entendre qu'ils ont droit à une pause, Flora cherche après sa cape lorsqu'elle remarque son binôme... torse nu ? En fait, elle remarque surtout ses étranges symboles recouvrant l'intégralité de son torse. Qu'est-ce que c'est que ça ? Elle remarque sa cape et le reste de ses affaires en boule par terre, quasiment aux pieds de Polyanski. En s'avançant pour récupérer ses affaires, elle le contourne et remarque que le schéma concentrique continue jusque dans son dos. Flora ne parvient pas à détacher son regard, captivée, tentant de déchiffrer ces lignes entrelacées. C'est elle ou bien la lumière fait rebondir les reflets de l'eau sur sa peau ? Une fois enveloppée dans son long manteau, elle prend le temps qu'il lui faut pour retrouver son souffle et son calme. Elle le sait, ça va être à son tour de lancer le sort à son coéquipier, qui a déjà l'air prêt à faire le grand "sceau".
***
Après une courte pause, Flora se décide à prendre la relève. Polyanski lui fait face. Elle sort sa baguette de la poche de sa cape et s'approche de son camarade. Oui, elle se dit sans doute que plus elle est près, plus le sort fonctionnera. Or, il ne s'agit pas seulement de viser juste, il faut aussi beaucoup de concentration. Ayant tout juste fait l'expérience des branchies, Flora sait donc ce qu'on ressent et voit à peu près à quoi ça doit ressembler. Fixer ainsi le cou de son camarade paraissait carrément bizarre, mais on n'allait pas y passer la nuit. Flora pointe doucement sa baguette vers le cou mais son regard dérive vers les symboles tatoués. Elle fait ce qu'elle peut mais ne parvient pas à détourner le regard, happée dans le cercle hypnotique de son tatouage. Alors, elle attrape un pan de sa cape et le plaque sur le haut de son corps, laissant dévoilée uniquement la partie qui l'intéresse. Ainsi, elle n'est plus distraite.
– Faut que je me concentre.
Concentration.
– Branchia Ventosa... Flora était parvenue à reproduire le même résultat que son camarade avant elle. De petites branchies s'étiraient de chaque côté de son cou. Cette nouvelle singularité sur son corps n'égalait en rien les magnifiques symboles déployés sur son torse et son dos, mais Flora n'était pas peu fière d'elle.
Le sort des branchies a fonctionné et Polyanski s'est mis à l'eau sans tarder. Si Flora restait concentrée, son jeune camarade aurait la capacité de parcourir une plus longue distance qu'elle. Elle le voit progresser comme un poisson dans l'eau et espère que le sort tienne jusqu'à ce qu'il atteigne l'autre rive. Elle se dit tout de même que ça serait un miracle qu'elle maintienne sa concentration plus longtemps que n'importe qui d'autre, étant novice dans ce domaine. Elle ne quitte pas des yeux cette masse floue et informe qu'est devenu le tatouage sous la surface. Elle se surprend à penser que, grâce à ça, il est beaucoup plus visible que les autres, avec sa cible dans le dos.
Au-delà de la ligne d'arrivée du marécage, Flora contemple les gradins vides du terrain de Quidditch. Elle n'a jamais vu de match de ses propres yeux mais avait eu la curiosité de se rendre à un ou deux entrainements pour découvrir ce sport magique. Selon certains, les entrainements n'ont rien à voir avec le spectacle qu'offre un véritable match, encore plus pour la Coupe du monde . Elle a pu voir des images mouvantes dans des journaux, revues ou cartes postales du monde magique, mais avant cela, elle ne savait pas en quoi le Quidditch consistait. Certains diraient que ça ressemble plus à du basket-ball avec les cerceaux ou du baseball avec la batte - pour ceux connaissant ces pratiques moldues -, mais pour Flora, cela ressemblait plus à la balle au prisonnier à cause du Cognard qui prenait pour cible les pauvres élèves volants. Sauf que, lorsqu'on se prend un coup, on n'atterrit pas en prison, mais à l'infirmerie.
Progression de Flora : 30/50
Toujours allongée par terre, Flora tourne la tête et voit une Serdaigle assise sur un rocher en train de lancer des sorts. Elle admet qu'un petit Qu'on sait qu't'aies tué, Drailleur serait le bienvenu (en tout cas, c'est comme ça que Flora prononce ce sortilège, qui lui laisse toujours une pensée bizarre). Elle se met à espérer que l'air chaud produit par la baguette de sa camarade parvienne jusqu'à elle, trop fatiguée à l'idée d'enchaîner autant de sorts en une seule matinée. Et puis, elle se dit que lorsque le professeur fera disparaitre le marais comme il a fait disparaitre le bassin, peut-être que la boue de ses vêtements se volatilisera également. Dans ce cas, il ne reste plus qu'à attendre. Et se reposer un max avant la troisième et dernière épreuve, celle du Mur.
Salut !
Flora, Poufsouffle en 1e année est dispo, si jamais tu as envie que l'on se croise quelque part !
Comme il n'y a pas de cours ouvert pour les premières années en ce moment, elle s'ennuie un peu.
À bientôt !
Flora doit s'y reprendre plusieurs fois avant de parvenir à se stabiliser. Pas évident de gérer ces nouvelles jambes quand celles-ci perdent les pédales. Elle cambre le buste d'avant en arrière pour retrouver un semblant d'équilibre. Ses pieds, qui ressortent et replongent dans le liquide visqueux, éclaboussent ses vêtements jusque sous son menton ainsi que tout l'arrière de son dos. Flora parvient enfin à s'immobiliser tant bien que mal après moults efforts et maintient la position afin de reprendre son souffle et retrouver de ses appuis, suite à quoi elle reprend lentement sa progression.
Progression de Flora : 16/50
Étalée de tout son long dans l'herbe, Flora regarde le ciel. Les nuages jaunes tranchent doucement sur le plafond azuré. Un vol d'oiseaux. Des oiseaux qu'elle n'avait jamais vu à la ferme. Elle se demande pourquoi les créatures magiques, qui n'ont pas de barrières, n'apparaissent pas aux yeux des Moldus. Le ciel est universel et n'a pas de frontières. Se sentent-ils en sécurité auprès des sorciers ? Ressentent-ils un confort au sein des terres magiques possédant une force qui leur serait familière et protectrice ? Y a t'il des environnements plus propices à l'évolution des pokém... des animaux magiques ? Flora n'en a pas conscience, mais les braconniers existent aussi chez les sorciers. Elle ne se doute pas de la valeur et des vertus des composants de ces êtres vivants, tout comme certaines plantes. Flora a encore tant à apprendre et se pose tellement de questions, qu'elle ne saurait toutes les formuler même si on lui laissait du temps.
Bonjour à toutes et à tous !
J'ai enfin posté mon premier RP :)
Flora Brightfield, première année, est dans sa chambre du dortoir des Poufsouffle, mais la porte est ouverte, si un ou une Poufsouffle a envie de passer par là.
J'ai indiqué mon post en temps que sujet libre, je pense que cela permet aux autres de venir poster à ma suite.
À bientôt dans les couloirs de Poudlard :)
Flora, trop concentrée sur sa tâche, ne comprit pas tout de suite que l’on s’adressait à elle. Elle finit de raturer ce qu’elle ne voulait pas faire apparaître dans sa lettre, puis tourna ensuite la tête vers sa camarade, prenant conscience qu’elle attendait sa réponse.
– Hein ? Ah ! Euh, non mais c’est pas grave. C’est juste une lettre pour ma mère et ma sœur.
Surprise par la question, elle ne savait pas trop quoi répondre à part la vérité.
Elle posa sa plume, soulagée qu’on la sorte de ses réflexions qui ne menaient à rien. Il y avait des jours avec et des jours sans. Ce n’était pas seulement une question d’inspiration. Elle avait toujours quelque chose à écrire, que ce soit le menu du festin auquel elle avait droit à chaque repas, le grand escalier qui lui avait encore une fois fait perdre son orientation, ou les remarques bizarres ou rigolotes des gens dans les tableaux qui parcourent les murs du château.
Non, c’était plus la crainte de ne plus être lue par sa propre sœur qui l’inquiétait. Pourquoi ne lui parlait-elle plus ?
Elle remarqua un papier dans les mains de sa camarade et lui demanda :
– T’as une lettre à envoyer, toi aussi ?
Cette fois-ci, Flora est parvenue à aller plus loin que lors de son premier plongeon. Mais elle n'y est pas parvenue seule, elle le sait. Durant ce laps de temps passé à nager, lui, devait rester concentré. Vu le calme et la force d'esprit que son camarade dégage, il a sûrement des facilités que Flora n'a pas. On dirait que c'est inné chez lui, de rester serein et de se focaliser uniquement sur ses priorités. En attendant, il n'est pas non plus la perfection incarnée, puisqu'elle n'est pas ressortie de l'autre côté du bassin, et ça la rassure de savoir qu'il a l'air aussi faillible que les autres. Face à un monsieur je-sais-tout, elle se serait sentie inutile, une moins que rien, et aurait rapidement abandonné.
***
Enveloppée dans sa cape, elle songe à une serviette, à son pyjama, à sa couette, à des vêtements que l'on enfile juste après les avoir chauffés sur le radiateur. Elle va attraper froid, c'est sûr et certain. Elle ne ferait certainement que se reposer tout le reste du week-end. Tout ça pour la maîtrise de sortilèges en condition réelle. Si seulement ses parents l'avaient préparé à ça. Apprendre la magie n'avait pas l'air si éprouvant dans les livres ou les dessins animé.
Cette fois, c'est au tour de Polyanski d'aller brasser l'eau. Elle s'assura qu'ils pouvaient reprendre l'exercice avant de lui lancer le sortilège, et se mit en condition. Elle faisait en sorte de ne pas trop le regarder pour éviter de se perdre dans son tatouage hypnotique, aussi, elle fait son maximum pour visualiser le sort demandé.
– Branchia Ventosa.
Flora n'avait jamais vu de scène dérangeante sur les écrans. Ses parents avaient toujours fait attention à ce qu'elle ne regarde pas de film d'horreur ou changeaient de programme lors de scène de guerre ou d'adultes dénudés. L'amour et la mort, deux sujets extrêmement sensibles. Aussi, Flora se décompose en voyant une lame de rasoir invisible trancher la peau fraîche du jeune garçon. Un filet de sang ruissèle jusqu'au creux situé à la base du cou, entre les deux clavicules. Le visage de Flora se décompose en un rictus horrible de peur et sa baguette se met à trembler très fort avant qu'elle ne se décide à la rabattre vers le sol pour éviter plus d'effusion de sang. Un petit cri s'échappe de sa gorge. Elle fait un pas en arrière, impuissante, sans savoir quoi faire ni quoi dire.
Aller, quand faut y aller...
Flora cherche un endroit pas trop mousseux pour démarrer son périple boueux. Il ne faudrait pas qu'elle se vautre au premier pas. Il n'y a pas vraiment le choix. Elle trempe un pied.
Frissons.
Elle trempe un autre pied, le deuxième, celui qui était encore sur l'herbe fraîche et saine, sans aucun furoncle de boue prêt à éclater sur sa peau blanche, et qui avait envie d'y rester, sur l'herbe propre et chatouilleuse. Mais il rencontre, lui aussi, la flotte poisseuse.
Un moment de réflexion.
En fait, c'est comme à la ferme, quand on jouait dans la boue, à une différence prêt qu'on devait mettre les bottes. Elle ne s'amuserait pas à sauter à pieds joints, cela dit. Le but, maintenant, était d'arriver jusqu'au bout, et le bout, bah il était loin. 50 mètres, c'est pas petit.
Progression de Flora : 3/50
Oui, bon, d'accord... Ce n'est pas exactement comme à la ferme. Non parce que, d'habitude, la boue, ça ne va pas au dessus de la cheville. Ça n'engloutit pas l'entièreté du mollet. Ça ne dépasse généralement pas les genoux, non plus. Et ça avale encore moins la moitié d'un corps.
Il faut à Flora plusieurs pas pour appréhender sa nouvelle démarche dans ce nouvel environnement. Extirper les jambes de ce gâteau au chocolat géant n'est pas chose aisée, mais son sortilège lui permet tout de même de se mouvoir avec une assez bonne fluidité. La vase mouvante émet des *bloups* comme ceux de la salle de potions. C'est même une symphonie blopesque qui se joue autour d'elle au rythme des enjambées.
Elle s'interdit de toucher, voire même d'effleurer la surface de cette mare étrange de ses mains intactes. Elle serre fort sa baguette, qu'elle ne lâcherait pour rien au monde au beau milieu de cette vase noire qui engloutit tout sur son passage. Elle guette du coin de l'œil qu'un canard mutant ne veuille pas grignoter un bout de Racine, le nom que Flora a donné à sa baguette. Auquel cas, elle serait dans la mouise jusqu'au cou.
Flora ne voit pas le bout de cette épreuve. Cette aventure à la Crocodile Dundee lui paraît interminable. A-t-elle fait le plus gros du chemin ? Est-elle toujours aussi près de l'arrivée ? Elle n'en a aucune idée car elle n'est plus là spirituellement. Son corps tente de s'extraire de la vase mais son esprit divague et pense à plein d'autres choses. Normal, donc, qu'elle ne soit plus assez concentrée pour éviter le syphon marécageux qui aspire et recrache ce qui ne lui plaît pas. Entraînée par le tourbillon lent, Flora ne parvient plus à maîtriser sa marche. Il ne faut pas qu'elle se laisse entraîner par le courant tourbeux. Vite, le sort d'ancrage !
– Ungula Stabilo !
À son grand soulagement, le tourbillon diminue en puissance. Ou bien c'est parce que le sort a fonctionné. Dans tous les cas, elle parvient à se dégager de cette force qui l'attirait en contournant le piège. En relevant les jambes bien haut, Flora aperçoit de petites griffes au bout de ses ongles ! Quoi !? Mais c'est moche ! Mais bon... C'est pratique, alors on ne va pas se plaindre.