Harry Potter RPG

Liste des messages de Basil Banks

Basil Banks

Homme

14 ans

Sang-mêlé

Britannique

De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 30/05/2025 à 18:39

17m parcourus

Basil avance, toujours concentré, les bras légèrement écartés pour garder l’équilibre. Chaque pas soulève des éclaboussures d’eau brunâtre et de mousse gluante. Il garde les yeux rivés devant lui, là où le marécage se rétrécit un peu, là où le sol semble moins traître. Ses griffes s’enfoncent dans la terre spongieuse, mais ne le retiennent pas. Au loin, il aperçoit Flora, plus légère sur ses appuis, qui progresse avec agilité. Basil se sent lent, maladroit. Mais il continue. Il serre sa baguette dans sa main moite, ses doigts blanchis par l’effort, et pousse un soupir concentré. Encore un pas. Et un autre.


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 30/05/2025 à 10:44

16m parcourus

Un léger frisson lui parcourt les jambes alors qu'il sent la magie opérer. Ses pieds prennent une forme étrange, comme plus larges, plus stables. Il regarde brièvement ses bottes, surpris de voir des griffes effilées là où se trouvaient ses orteils. C’est… bizarre, mais il ne va pas se plaindre. Il teste prudemment le sol sous ses pieds, se redresse et reprend son avancée dans le marécage. Le terrain reste capricieux, mais à chaque pas, il s’enfonce moins. La boue glisse sous ses griffes sans le happer. Au loin, il aperçoit Charlie qui lève un poing en l’air, déjà arrivée de l’autre côté. Basil esquisse un sourire fatigué, puis baisse la tête, concentré. Un pas après l’autre, toujours en avant.


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 29/05/2025 à 21:59

La boue suinte sous ses pas, lourde et collante, et Basil sent bien que ses appuis commencent à faiblir. Chaque mètre gagné est une bataille, chaque pas un défi. Il sent la fatigue le gagner, la boue peser sur ses mollets, le sol se dérober légèrement sous lui. Inspirant profondément, il brandit sa baguette, la main ferme malgré le tremblement.

- Ungula Stabilo.

Il serre les dents, tente de visualiser ses pieds devenant des pattes griffues, plantées dans la terre instable. Ça doit marcher. Il faut que ça marche. Il ne veut pas encore glisser, ni perdre tout ce qu’il a gagné. Il veut avancer.

Un léger fourmillement dans ses orteils annonce le succès du sort. Ses appuis se font plus fermes, moins traîtres. Les griffes sont discrètes mais efficaces, et même si le marécage le freine encore, il sent qu’il peut avancer plus facilement. Il inspire profondément, un peu soulagé.

Basil Banks a lancé un sortilège !

Sortilège
Enchantement d’Ancrage
Difficulté
6
Résultat D20
8
Interprétation
Réussite
XP gagnée
3

Un léger fourmillement dans ses orteils annonce le succès du sort. Ses appuis se font plus fermes, moins traîtres. Les griffes sont discrètes mais efficaces, et même si le marécage le freine encore, il sent qu’il peut avancer plus facilement. Il inspire profondément, un peu soulagé.

Autres résultats possibles

Ses pieds se transforment aussitôt en griffes puissantes, plantées fermement dans la boue. Chaque pas devient plus sûr, plus stable. Il a l’impression de flotter sur ce terrain meuble, prêt à avancer comme un félin des marais. Un sourire étire ses lèvres : pour une fois, ça marche du premier coup.

 

Rien ne se passe. Ses pieds restent des pieds, trop mous, trop humains. La boue suinte entre ses orteils, le retient encore plus, comme si le marécage s’amusait à le piéger. Basil soupire, la frustration grondant dans sa poitrine. Il sent que ça va être encore plus galère.
Un craquement brutal résonne. Ses pieds deviennent des pattes de canard, palmées et glissantes. Au lieu de l’aider, le sort aggrave la situation : il sent ses appuis fuir à chaque pas, la boue s’engouffrer jusqu’à ses mollets, l’aspirant avec une joie cruelle.

De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 29/05/2025 à 21:11

Progression depuis le départ : 13 mètres

Un mètre. Un foutu mètre de plus. Basil enrage intérieurement, mais il garde le cap. La boue l’agrippe, lui colle aux chevilles, glisse entre ses doigts quand il s’aide de ses mains pour avancer, comme si elle voulait le retenir à tout prix. Mais il ne lâche rien. Il avance, têtu comme une mule, déterminé à finir ce maudit parcours. Il jette un regard rapide en arrière, puis vers la ligne d’arrivée qui se profile au loin. Il inspire, force sur ses jambes, et continue de s’enfoncer dans ce terrain mouvant, comme un galérien au milieu d’une mer épaisse.


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 29/05/2025 à 20:45

Progression depuis le départ : 12 mètres

Basil lève les yeux vers l’horizon flou du marécage. Il aperçoit une silhouette familière : Charlie. Déjà arrivée. Ses bras se lèvent dans une sorte de victoire silencieuse, et son sourire illumine la brume. Plus loin, Flora progresse, visiblement pas loin d’y parvenir elle aussi. Basil serre les dents, se sentant un peu à la traîne. La fatigue pèse sur ses jambes trempées, mais il continue, chaque pas plus lourd que le précédent. La boue l’aspire, le retient, mais il lutte, dégageant ses pieds à chaque mouvement. Il avance, lentement, mais sûrement. Un pas, puis un autre. Un rictus obstiné sur les lèvres.


En quête d'action

Message publié le 29/05/2025 à 19:47

Machinalement, Basil a porté une main à son visage pour vérifier qu'il n'avait pas en effet reçu un coup de soleil. Ou alors pour vérifier qu'il n'était pas en train d'entrer en combustion spontané. Car voyez-vous, plus difficile encore que de rougir pour un oui ou pour un non, c'est encore quand on vous fait remarquer que vous avez rougi. Basil a chaud. terriblement chaud. C'est donc volontiers qu'il suit Charlie à l'ombre.

 

- Ouais je sais, il commente au sujet des Poufsouffles.

Une fois, Basil avait pris un cliché du groupe, comme s'il cherchait à capturer l'essence même de ce qui semblait les relier si naturellement. Leurs rires éclataient en boucle sur le papier glacé, leurs regards complices échangés au-dessus de nuages de fumée blanche dont l'odeur semblait différente, parfois, des cigarettes. Basil s'installe auprès de sa camarade, sa sacoche déposée dans l'herbe, le Mekapteur coincé entre des cahiers emplis de notes diverses et plusieurs manuels épais. Il est inerte, et pourtant il est persuadé souvent d'encore entendre ses rouages cliqueter à l'intérieur.

 

- Mh. Nan, pas trop, Basil admet alors que ses yeux se posent sur le joueur de Quidditch que lui montre Charlie. Pas du tout serait une réponse plus appropriée. S'il est un domaine dans lequel Basil patauge, c'est bien celui du sport. C'est plutôt cool ! Il le pense bien sûr, même s'il ne partage pas l'enthousiasme de Charlie pour les figures sur balai.

 

Le garçon s'intéresse malgré lui de très près au carnet ouvert par Charlie, ne peut pas s'empêcher d'observer tout ce qu'il voit passer sur des pages entières. Là quelques dessins. Ici des notes. Là encore, ce qui ressemble à des cartes. Ses propres cahiers sont remplis de ce genre de choses, et il se prend à avoir envie de les partager. La timidité cependant, le fige dans sa posture, et c'est sagement qu'il attend que Charlie lui montre son costume.

 

- Oh. 

Il approche pour mieux voir. La mère de Charlie Carter est très classe. Impressionnante même. Une véritable aventurière. À bien des égards, le déguisement lui rappelle celui du capitaine Brooks. Personne ne se moquerait de Charlie en capitaine Brooks cependant, pas plus que dans les vêtements de sa mère.

 

- C'est top, il commente sincèrement avec un sourire. Sourire qui se fane à la mention de Lord Ribbit, fait place à une moue. J'le cherche tu sais quand j'suis au parc. J'suis sûr qu'il finira par revenir. Il aimerait avoir une vision pour le lui confirmer. Pour le confirmer a Charlie. Mais rien. Tu devrais avoir un serpent. Pour aller avec ton costume. L'annonce est balancée au milieu de rien, alors que son regard est de nouveau tombé sur le dessin. Enfin je sais pas trop où est-ce que tu trouverais un serpent. Mais ça ferait super... exploratrice. Il se tait comme s'il était persuadé d'avoir dit quelque chose de particulièrement stupide.

 

Il a une pensée pour sa mère, bien sûr. Sa mère qui ne s'habille pas comme une exploratrice, mais pour laquelle il a beaucoup d'admiration. Comme Charlie, il n'a pas vraiment connu son père, mais il a de nombreuses photos de lui accrochées dans sa chambre, à la maison. Une également glissée dans sa malle, à l'abri des autres garçons. Son père était un soldat, et la plupart des photos le montre dans sa tenue militaire, avec d'énormes bottes noires qui lui remonte presque jusqu'aux genoux. S'il s'habillait comme ça, sans doute qu'on se moquerait encore plus de lui que lorsqu'il s'était déguisé en reporter, puis en capitaine.

- Il lui est arrivé quoi, à ta mère ? Il demande finalement, timidement, les yeux tournés vers Charlie Carter.


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 28/05/2025 à 18:27

Progression depuis le départ : 10 mètres

Basil sent une décharge bizarre remonter le long de sa jambe droite. Son pied s’allonge, se transforme, mais pas complètement. Des griffes inégales, un orteil allongé, l’autre tordu. Il tente de poser le pied... et bascule. Son corps penche, la boue le happe. Il s’enfonce jusqu’aux genoux, des éclaboussures partout, la sensation poisseuse qui s’infiltre sous ses vêtements. Il grimace, grogne, se débat. Chaque mouvement le fait glisser encore. Six mètres en arrière, il se sent ridicule, lessivé. Mais il relève la tête, essuie son visage d’un revers de manche et se remet en marche. Pas question d’abandonner. Un pied après l’autre, la boue suinte, les branches craquent sous ses pas. Il avance. Encore. Toujours.


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 28/05/2025 à 14:27

Progression depuis le départ : 16 mètres

Basil s’arrête un instant, planté dans la boue qui remonte jusqu’à mi-mollet. Il jette un rapide coup d’œil à Amanda, un mince sourire au coin des lèvres, comme pour se dire « on est encore là, c’est déjà ça ». Le marécage gronde sous ses pieds, la mousse pulse faiblement, presque vivante. Il sent la terre s’enfoncer légèrement à chacun de ses pas. Il a besoin d’un appui plus sûr. Ses jambes sont encore élastiques, mais ses appuis ? Pas vraiment. Il resserre sa prise sur sa baguette, la lève à hauteur de poitrine. Sa voix claque dans l’air épais :
 

- Ungula Stabilo !

Ses pieds prennent une forme difforme, griffes molles et inefficaces. Il glisse, s’enfonce dans la boue et chute dans un bruit écœurant.


Basil Banks a lancé un sortilège !

Sortilège
Enchantement d’Ancrage
Difficulté
6
Résultat D20
1
Interprétation
Échec Critique
XP gagnée
3

Ses pieds prennent une forme difforme, griffes molles et inefficaces. Il glisse, s’enfonce dans la boue et chute dans un bruit écœurant.


Autres résultats possibles

Ses pieds se transforment en pattes griffues parfaitement stables. Chaque pas est sûr, rapide, presque félin. Il se sent prêt à avancer sans crainte.
Ses pieds se changent en pattes griffues, assez fonctionnelles pour tenir l’équilibre. Il avance plus facilement, même si la sensation est étrange.
La transformation est partielle, une patte griffue et un pied normal. Il avance en boitant, prêt à affronter les prochains mètres, malgré le déséquilibre.

De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 28/05/2025 à 13:39

Basil sent une crampe poindre dans sa cuisse gauche. Il serre la mâchoire, ignorant la douleur qui pulse sous sa peau. Le marécage est un adversaire vicieux, chaque pas un combat contre l’aspiration traîtresse de la boue. Il a l’impression de s’enfoncer à chaque seconde, mais il garde l’élan, même si ça grince, même si ça brûle. Il se concentre sur la texture du sol sous ses pieds, cherche l’endroit qui lui offre le moins de résistance. Il entend vaguement les éclaboussures des autres, mais tout se dilue dans ce bruit sourd de vent et d’eau. Encore un pas. Puis un autre. Pas le choix : il faut avancer.

Progression depuis le départ : 14 mètres


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 28/05/2025 à 13:29

Le marécage se resserre autour de lui, comme si chaque pas déclenchait un grondement sourd sous la surface. Basil serre les dents. Sa cape alourdie d’humidité fouette ses mollets, mais il ne ralentit pas. Ses jambes, toujours étirées par le sort, rebondissent sur le sol mou, mais chaque appui est une lutte. Il doit anticiper, choisir le bon endroit où poser le pied. Il jette un regard bref à Amanda, devinant sa silhouette plus loin. Il pense à leur duo, à cette drôle d’alliance bancale. Il se concentre sur le sortilège, sur le rythme. Un, deux, trois… encore. La boue tente de le happer, mais il continue, avançant, progressant.

Progression depuis le départ : 12 mètres


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 28/05/2025 à 12:31

Basil continue de progresser, son souffle court mais régulier. Ses jambes s’étirent à chaque pas, un peu comme des ressorts bien huilés, lui permettant d’éviter de s’enfoncer dans la boue plus d’un instant. La mousse s’accroche à ses chevilles, tente de le retenir, mais il garde le rythme, le regard fixé droit devant lui, concentré sur sa trajectoire. Parfois, il sent le sol céder légèrement sous son poids, mais il ajuste son appui d’un mouvement fluide et silencieux. Il est seul dans sa bulle, conscient des voix autour, mais focalisé sur son objectif : avancer. Ne pas se laisser happer. Sa baguette reste levée, son souffle se fait plus court, mais il avance, mètre après mètre.

Progression depuis le départ : 9 mètres


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 27/05/2025 à 22:17

Basil s’enfonce dans le marécage, la boue poisseuse lui montant jusqu’aux mollets. Chaque pas est un effort, chaque pas est un risque. Mais il garde son regard fixé sur la ligne d’horizon, ou ce qui pourrait y ressembler, entre les branches tordues et les éclats d’eau stagnante. Le sort continue d’alléger ses appuis, mais la sensation d’étirement dans ses jambes reste étrange, presque désagréable. Il avance, lentement mais sûrement, se disant qu’il ne doit pas penser à la fatigue qui pèse sur ses épaules ni à la mousse qui glisse sous ses semelles. Il est concentré, tendu, dans un étrange ballet où chaque pas pourrait l’engloutir. Mais pour l’instant, ça tient. Alors il avance encore.

Progression depuis le départ : 4 mètres


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 27/05/2025 à 19:32

Basil avance, prudemment d’abord, puis avec un peu plus d’assurance à mesure que le sort montre son efficacité. Ses jambes, plus légères, s’étirent légèrement à chaque pas, lui donnant une sensation étrange - un peu comme s’il était monté sur des échasses souples. La boue se dérobe sous ses pieds, mais il sent qu’il peut gérer. C’est un drôle de mélange entre le stress et une excitation nerveuse : ça glisse, ça colle, ça suinte, mais il avance. Chaque pas est une victoire. Le marécage est un patchwork de textures. 

Tantôt des racines lui fouettent les chevilles, tantôt ses pieds s’enfoncent un peu plus que prévu, mais il parvient à retrouver son équilibre grâce à la souplesse conférée par le sort. L’odeur d’humus humide lui monte au nez, forte, presque entêtante. Les bruits de succion de la vase résonnent à chaque pas. Il jette un rapide coup d’œil à Charlie qui avance devant lui, puis reporte son attention sur ce qui se passe sous lui. Il n'y a aucun chemin bien sûr. Rien n’est tracé. Tout est instable.


Il passe à côté d’un trou d’eau boueux où une autre élève semble coincée jusqu’aux genoux, puis d’un tapis de mousse qui se rétracte doucement sous ses pas. Son cœur bat fort. À chaque mètre gagné, il se demande si ça va tenir. Il ne compte pas, il avance, il tente de respirer profondément, de se concentrer sur ses appuis. Un bruit de succion plus fort que les autres le fait tressaillir, mais il continue. Pas après pas. Le marécage ne l’a pas encore avalé. Pourvu que ça dure.


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 27/05/2025 à 19:28

Basil écoute les mots du professeur, la voix de Pope qui résonne comme une cloche dans le silence retrouvé. Il est trempé, frissonnant légèrement, mais garde les bras croisés sur sa poitrine, attentif. Les branchies, la nage, les échecs - tout ça lui paraît déjà lointain, comme un rêve humide dont il émerge à peine. Quand Pope souligne sa persévérance, il détourne brièvement le regard, le rouge montant à ses joues. Il aurait préféré qu’on ne le mentionne pas, pas comme ça, pas en mode il a foiré mais il a essayé. Mais bon. Il hoche légèrement la tête, un peu gêné, et se reconcentre.
 

Le marécage devant eux lui file un frisson. Il observe la mousse vivante, les racines sournoises, la boue qui respire. Il échange un regard avec Amanda, un petit rictus fatigué mais complice sur les lèvres. Ça promet. Chaque pas, un sort. Chaque sort, un choix. Il inspire profondément, se passe une main dans les cheveux, se dit qu’il va encore finir par se retrouver trempé jusqu’aux os ou englouti jusqu’à la taille. Mais il faut tenter. Toujours tenter.
 

Il sort sa baguette, la lève à hauteur d’épaule. Sa voix, un peu plus assurée qu’au début du cours, s’élève dans l’air un peu moite :
 

- Crurum Elasticum !

Ses jambes picotent, la sensation d’un allongement léger le parcourt. Rien de spectaculaire, mais suffisant pour sentir ses appuis s’alléger. Il fait un pas prudent, teste le terrain. Ça tient. Ça devrait faire l’affaire. Il se tourne vers Amanda, lui offrant un sourire modeste, encore essoufflé mais un peu plus confiant. Il s'engage.

Basil Banks a lancé un sortilège !

Sortilège
Sortilège des Jambes Souples
Difficulté
6
Résultat D20
19
Interprétation
Réussite
XP gagnée
3

Ses jambes picotent, la sensation d’un allongement léger le parcourt. Rien de spectaculaire, mais suffisant pour sentir ses appuis s’alléger. Il fait un pas prudent, teste le terrain. Ça tient. Ça devrait faire l’affaire. Il se tourne vers Amanda, lui offrant un sourire modeste, encore essoufflé mais un peu plus confiant. Il s'engage.

Autres résultats possibles

Un frisson vif remonte le long de ses jambes. La magie pulse, vibrante, presque chatouilleuse. Ses genoux se plient avec une souplesse inattendue, ses jambes semblent s’allonger, fines et élancées, comme des ressorts de félin. Il fait un pas, puis un autre, et sent l’élasticité sous ses muscles - c’est comme s’il pouvait bondir, rebondir, glisser au-dessus de la boue. Il regarde Amanda, les yeux ronds, puis laisse échapper un petit rire sec, incrédule avant de s'engager.
Un souffle de magie passe dans ses jambes, mais ça s’arrête là. Une sensation de raideur plus qu’autre chose. Basil remue un peu les genoux, lève un pied, puis l’autre. Rien. Il soupire, lasse, et secoue la tête, baguette toujours en main.
La formule fuse, mais la magie s’emballe. Un crépitement bizarre remonte le long de ses jambes, une impression de fourmillements désagréables qui se change en spasmes. Ses muscles se raidissent brutalement, ses jambes semblent vouloir se plier dans des directions improbables - il vacille, se rattrape de justesse en posant la main sur le sol humide.

 

Il regarde Amanda, confus et un brin alarmé, sa baguette tremblante dans sa main. Pas idéal pour commencer. Mais il se reprend, se redresse, prêt à recommencer.


De la forme à la fonction [Cours Méta]

Message publié le 15/05/2025 à 20:54

Basil n’a rien dit quand Amanda a proposé qu’ils s’arrêtent. Il s’est contenté d’acquiescer, la gorge nouée, les mains froides, plus par déception que par l’humidité. Il s’est laissé tomber dans l’herbe à côté d’elle, les yeux perdus dans les nuages, l’échec en bandoulière. Même le sort de séchage d’Amanda - presque réussi - ne lui arrache qu’un petit sourire sans conviction. Ils ont essayé. Longtemps. Plus que beaucoup. Mais maintenant que les battements de son cœur ralentissent, que la tension redescend, il entend. Il voit. Des élèves qui rient, nagent, échouent, réessaient. D'autres qui célèbrent leur traversée. Tansy et Wendy qui s’étreignent, trempées mais rayonnantes. Et lui, là, étalé comme une plante fanée, alors qu’Amanda a plongé trois fois pour lui, sans jamais rechigner.
 

Il tourne la tête vers elle, la fixe un moment sans rien dire, puis se redresse.
 

- J’vais tenter encore une fois, souffle-t-il. Juste une. Et après je te jure que je parle plus jamais de branchies.
 

Il lui adresse un demi-sourire, attend qu'elle se prépare, lève sa baguette une dernière fois, et prononce :
 

- Branchia Ventosa.

 

Un frisson passe dans l’air. Amanda tâte son cou, et Basil voit son regard s’illuminer. Elle respire toujours. Elle a des branchies. Il ferme les yeux un instant, expire longuement, puis relève les yeux vers elle :

- À toi de jouer, murmure-t-il.

 

Basil Banks a lancé un sortilège !

Sortilège
Sortilège des Branchies
Difficulté
6
Résultat D20
10
Interprétation
Réussite
XP gagnée
3

Un frisson passe dans l’air. Amanda tâte son cou, et Basil voit son regard s’illuminer. Elle respire toujours. Elle a des branchies. Il ferme les yeux un instant, expire longuement, puis relève les yeux vers elle :

- À toi de jouer, murmure-t-il.

Autres résultats possibles

Le sort fuse avec plus de puissance qu’il ne l’espérait. Amanda se raidit, surprise, avant d’ouvrir grand les yeux, touchant son cou. Des branchies parfaitement formées, délicates, palpitent déjà.

- Wah… siffle-t-il, admiratif. Le repos a du m'faire du bien. J’crois que j’ai jamais réussi un sort aussi propre. J'sens que j'vais tenir ce coup-ci.
Amanda sursaute, la main au cou. Elle grogne légèrement. Basil blêmit. Il s’approche : des ouïes ont bien poussé, mais ce sont… des ventouses de pieuvre, collées à sa peau. Et ça remue.

- Merlin… Amanda, je suis désolé ! souffle-t-il, prêt à appeler Pope à la rescousse pour la énième fois de la journée.
Amanda se fige. Rien. Pas de branchies. Pas même un frisson. Juste un petit pouf de magie inoffensive. Basil lâche un souffle dépité, comme s’il venait d’essayer d’enflammer une bûche détrempée.

- Nan t'avais raison on abandonne. Tu la vois comment notre cabane dans les bois ? Il demande en se laissant tomber au sol.

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